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Sur l'immigration et la pauvreté

Richese et pauvreté, ces sont des realités qu'on ne peut pas détacher. Ces sont, tous les deux, des concepts rélatifs: chaque un c'est la mesure de l'autre. Je suis riche ici, mais je serais pauvre là. Cela depends du percentage de la population qui se trouve dessous --ou dessus-- moi.

Alors, si on regarde comme ça la question de l'immigration —l'immigration pauvre—, on pourrait la reformuler de la manière suivante: quoi faire avec les riches? Qu'est-ce que la societé peut faire pour se bien protéger d'eux? Quoi faire avec leurs voitures grandes, bruyantes et contaminantes? Qu'est-ce qu'on pourrait faire avec de l'eau qu'ils gaspillent dans leurs champs de golf? Combien des familles pourraint vivre dans les jardins autour de leurs maisons?

"Ah! L'immigrant noire, il m'a volé le portefeuille!", bien sûr. Mais, aussi: "putain! Le PDG il a fui des impôts pour autant valeur que la somme des valeurs des portefeuilles que tous les inmigrants noirs ont volé en France pendant une année!". J'habite dans un quartier riche parce que j'ai peur qu'un algérien prenne mon vélo; alors, je paie chaque mois au propiétaire de mon appartement —dans un quartier très mignon, bien sûr— une augmentation sur le prix d'un appartement equivalent dans un autre quartier qui bien pouvait m'acheter un vélo mensuel. Seule l'une c'est une crime.

Ces sont des contradictions courantes sur lesquelles personne ne parle jamais. On pouvait supposer que cela a à voir avec le fait que ce sont les élites qui contrôlent les médias. La realité des derniéres jours en Espagne le montre très ilustrativamente: le groupe Recoletos, éditeur de journaux, viens de lancer un nouveau journal gratuite. Pour qui? Alors, ils ont fermé le cercle: Expansión pour ceux en haut , Qué! pour ceux en bas, et Marca, l'opium du peuple, pour la majorité endormie.

Este miniopúsculo fue una pequeña tarea de francés que espero que nadie juzgue por la forma —macarrónica, bien lo sé—, sino por el fondo.

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